L’an dernier, je partageais avec toi quelques pistes pour éviter la déprime de novembre. C’est un mois particulier : les journées raccourcissent, la lumière se fait plus rare, le froid s’installe doucement. On sort de la douceur de l’automne coloré pour entrer dans une période où tout semble ralentir, s’éteindre un peu. Et pourtant… c’est aussi un mois qui peut devenir une parenthèse de douceur, un moment cocooning où l’on se reconnecte à soi et à ce qui nous fait du bien.
Devenir une maison d’édition indépendante : Un rêve pas si fou…
Tu veux que je te confie un de mes rêves les plus fous ? Pas celui de vivre dans une tiny house au milieu des champs avec un chat qui ne miaule jamais (même si…).
Non 😅 !
Un rêve encore plus audacieux : devenir une maison d’édition indépendante. Oui, moi, toute seule avec mon carnet, mon thé froid, mes crayons, mes idées et mes cheveux en bataille (nan mais j’me coiffe parfois hein).
Je t’en parle aujourd’hui, parce que peut-être toi aussi, tu rêves de publier des livres. Les tiens ou ceux des autres. D’ouvrir une porte au monde pour de jolies plumes. De faire naître des histoires qui réchauffent le cœur, bousculent les idées reçues ou font juste du bien.
Mais… comment on devient une maison d’édition quand on n’est ni Gallimard, ni plein de contacts dans le milieu, ni doté d’un budget en or massif ?
Un bien on peut ! Et je t’explique comment.
Il y a des gâteaux qui racontent une histoire… et le gâteau nantais en fait partie. J’ai récemment été en visite à Nantes pour voir de la famille et je suis retombée sur ce fameux gâteau Nantais 😋. J’avais oublié à quel point je l’aime… Mais d’où vient-il ?
Né au XVIIIe siècle, il porte dans ses saveurs toute une époque : le sucre, le rhum, la poudre d’amande et la vanille arrivaient alors à Nantes grâce au commerce maritime. Résultat : une recette riche, moelleuse et parfumée, qui est vite devenue une spécialité locale (voici l’article de Ouest France, si tu veux plus d’Histoire sur le gâteau nantais).
C’est un gâteau de voyage (donc transportable et parfait pour un pique-nique par exemple), mais terriblement élégant. Sa texture fondante, son parfum de rhum et son glaçage délicat en font un dessert parfait pour impressionner sans passer des heures en cuisine. Il fait partie de ces douceurs qu’on aime sortir pour un goûter réconfortant.
Chaque année, c’est la même chose : le mois de septembre arrive et avec lui… la tornade de la rentrée. Reprise de l’école, des activités, des rendez-vous médicaux, du travail, des menus à prévoir, des courses à faire, du linge à plier… Et ce besoin pressant de “tout bien gérer” alors qu’on sort à peine de l’été.
Mais est-ce vraiment possible de repartir du bon pied sans s’épuiser ? De concilier l’organisation, les obligations et un peu de sérénité ? Spoiler : oui. Mais ça demande de changer de regard sur la rentrée… et d’alléger (un peu) la pression.
Pourquoi j’arrête mon podcast “Vers Do” ?
Il y a des décisions qu’on sent venir de loin… mais qu’on met du temps à poser. Celle d’arrêter Vers Do, mon podcast, en fait partie.
J’ai lancé ce podcast avec l’envie de partager. Des idées, des émotions, des réflexions, de la douceur. C’était un espace à moi, mais aussi pour les autres. Un espace bienveillant, sans pression, avec une seule intention : semer un peu de lumière.
Pendant deux ans, j’ai tout donné. J’ai écrit, enregistré, monté, publié. J’ai trouvé des idées, invité des personnes inspirantes, reçu de jolis retours. Et franchement, je suis fière de ce que j’ai construit.
Pour clôturer cette saison 3 de Vers Do, j’avais envie d’un épisode un peu particulier. Pas de thème à décortiquer, pas d’invité·e à interviewer… mais plutôt un moment de recul. Une occasion de me livrer, de raconter l’envers du décor, et surtout de répondre à une question qu’on me pose souvent : “Mais qui se cache derrière ce podcast ?”.
Prendre soin de soi… quand on devient parent, ou qu’on se lance dans l’entrepreneuriat, une chose revient très vite en arrière-plan : soi-même. Entre les responsabilités, les rendez-vous, la charge mentale et les multiples casquettes à porter chaque jour, prendre soin de soi semble souvent secondaire. Voire égoïste. Et pourtant…
Dans cet article, je te propose de remettre les choses à plat. Car prendre soin de soi n’est pas un luxe, c’est un socle. Et quand on est parent, entrepreneur.e, ou les deux (team double combo, coucou !), c’est encore plus crucial.
Un souffle de douceur pour les mères qui doutent… Être maman aujourd’hui, c’est être exposée. Aux conseils qu’on n’a pas demandés, ainsi qu’aux regards qui pèsent. Mais aussi aux réseaux sociaux qui montrent des quotidiens lisses et des enfants toujours souriants. À cette idée, parfois intériorisée, qu’il faudrait tout réussir : la maison, l’éducation, les repas, les émotions… avec calme, sourire et créativité.
Et si on arrêtait un instant la course ?
Une table ronde en toute sincérité, sans injonctions
Il y a des sujets qu’on croit connaître par cœur… jusqu’à ce qu’on prenne le temps d’en parler vraiment.
L’alimentation en fait partie.
Dans cet épisode de Vers Do, j’ai réuni deux invitées lumineuses, Coco et Chloé, pour explorer ensemble ce que signifie « bien manger » dans notre société actuelle.
Spoiler : il n’y a pas de réponse unique.
Créer. Un mot puissant, vaste, lumineux. Il évoque la naissance d’une idée, la transformation de l’invisible en visible, le plaisir de faire apparaître quelque chose qui n’existait pas avant. Créer, c’est magique. C’est mon univers depuis toute petite. Créer ça donne sens à ma vie et je sais que je ne suis pas la seule dans ce cas 😉.
MAIS (parce qu’il y a toujours un “mais” 😅), combien d’entre nous avons déjà freiné un élan créatif à cause d’un obstacle sournois : la recherche de perfection ?
